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A**I
Five Stars
Excellent music and service. Unfortunatenly You have send me an CD-R insteed for a CD.
B**N
Five Stars
Exellelent cd from a exellent seller
M**T
Art Pepper - Modern Art
One of the best Art Pepper CDs. My favourite track is Begin the Beguine.My copy was used but non the worse for that.Recommended.
J**K
Art Pepper's overlooked quartet sessions from 1956/57.
The great alto saxophonist Art Pepper(1925-1982) recorded these excellent quartet sessions in Los Angeles on December 28, 1956 and January 14 & April 1, 1957.With Pepper were pianists Russ Freeman(tracks 1-10) & Carl Perkins(tracks 11-13); bassist Ben Tucker & drummer Chuck Flores.The thirteen tracks feature intense and emotional alto playing from Pepper on four originals and several standards including a haunting version of Gershwin's 'Summertime'. Other highlights are a stunning Pepper/Tucker duet on the leader's 'Blues Out' and a superb quartet version of 'Stompin' At The Savoy'. For some reason track 13, which is 'Webb City', is not listed anywhere on the CD.'Modern Art' contains well over an hour of Art Pepper's finest playing and deserves to be much better known.Btw ~ This review refers to the single CD on BLUE NOTE 5 15757 2 not the POLL WINNERS RECORDS 2-CD set
F**Z
la révolution art pepper...
Ce deuxième volume des sessions Aladdin, beaucoup plus que le premier (The Return of Art Pepper), est d'une beauté sans équivalent. Enregistrée à Los Angeles entre décembre 1956 et avril 1957, la présente galette montre une nouvelle fois la puissance et l'intensité de jeu du saxophoniste Art Pepper (1925-1982). Le répertoire, les différents climats, la liberté et l’espace qui y règnent, tout contribue à faire de ce Modern Art un « must » pour les amateurs de jazz. Pour moi, il est clair que cet album est l’un de mes préférés du saxophoniste. C'est un disque à la fois déchirant et enthousiasmant. Jamais musicien n'avait été aussi éloquent et d'une sensibilité à vous donner à ce point le tournis. En termes de jeu, d’interaction, d’inspiration et d’improvisation, Modern Art met la barre très haute (1). The Return était déjà excellent, mais ici, l'auditeur que je suis est happé, comprenant mieux son humanité. L'œuvre est bouleversante à un « point de non-retour » stupéfiant. Parfait pour découvrir cette légende du jazz, Modern Art est une œuvre qui vous fait chialer comme un môme, mais qui sait vous consoler aussi, et finalement vous rend heureux de vivre, vous fait aimer la vie. Ce disque me colle à la peau depuis pas mal d'années, et d'y revenir aujourd'hui, je peux dire ceci : Art Pepper est pour moi comme un frère. Je sais, c'est un peu stupide de dire chose pareille. Mais un frère d'armes, un frère d'âme. L'homme en a vu de toutes les couleurs. Ce sentiment de vécu dans son jeu est déjà là, authentique, sincère et bouleversant. C'est prenant, bouillonnant, et une version telle que « Summertime » jouée en trio avec seulement le pianiste et le contrebassiste vous comble de joie et de douleur tout à la fois. De nombreuses plages sont interprétées en duo également (entre le saxophoniste et le contrebassiste Ben Tucker). C’est aussi cela la « révolution Art Pepper ». Une idée géniale que reprendront d’ailleurs Eric Dolphy et Richard Davis (notamment dans Conversations et Iron Man) et bien d’autres musiciens encore.La galette est par ailleurs superbement enregistrée (la qualité sonore est indéniable, même si les dix premières plages furent gravées en mono, et les trois suivantes en stéréo). Publié en compact par le label Blue Note, ce Modern Art marquait donc le retour du saxophoniste (après la publication d’Art Pepper Quartet, le musicien allait passer un long séjour à la prison de Fort Worth pour usage de stupéfiants). Musicien incontournable de la scène West-Coast, ayant intégré l’esthétique de Charlie Parker avant de s’en émanciper totalement, Pepper joue ici son va tout, comme si sa vie en dépendait. Treize titres et plus d’une heure de musique ineffable (pour ne pas dire sublime !). La rythmique, pour les douze premiers titres, est composée de Russ Freeman (piano), Ben Tucker (contrebasse) et Chuck Flores (batterie). Les musiciens ont une marge et une liberté confondante. Ils alternent ainsi maintes configurations au gré de leur inspiration. Soit un quartet classique à géométrie variable de toute beauté. Sur les trois derniers titres, on trouvera enfin le génial Carl Perkins à la place de Freeman. A noter au passage que plusieurs éditions existent et surtout que les trois dernières plages sont connues pour faire partie des sessions du label Omega, lequel fut racheté par Aladdin Records quelques années plus tard (1). Le troisième volume (que je ne manquerai pas de commenter) et qui voit toute la session avec la même rythmique (Carl Perkins officie alors au piano de la première à la dernière plage) est tout aussi indispensable que ce deuxième album issu d’un triptyque fascinant. Modern Art tient une place de choix. Album incontournable, le plus subtilement et amoureusement « accessible », Modern Art constitue l’un des sommets de la carrière de ce saxophoniste « terriblement humain et terriblement confidentiel ».Son assurance, son imagination, ses idées renouvelées, cette ardeur proche du chant intérieur bourré d’adrénaline et véhiculant pas mal d’émotions, cette intensité éclatante, cette maîtrise dénuée de toute sensiblerie, cette expression singulière (entre un Charlie Parker et un Lee Konitz), cette tonalité immédiatement identifiable, cette approche si caractéristique en termes de phrasé, tout cela contribue à faire le constat suivant : Art Pepper est réellement l’une des voix les plus authentiques du jazz et les plus authentiquement individualistes de l’époque. Pour Art Pepper, et on le ressent fortement ici, le jazz, « ça n’était pas une musique mais une approche de la musique » (un processus, si vous préférez) à travers lequel un musicien essaie toujours de se définir, d’élargir, d’approfondir, d’éclaircir son art, en tenant compte de son passé pour aller de l’avant, vers un avenir parfois hors d’atteinte. Les efforts d’Art Pepper dans ce sens sont flagrants. Prenez deux thèmes comme « Blues In » (plage 1) et « Blues Out » (plage 2) joués en duo avec Ben Tucker, la sonorité du saxophoniste est il faut bien le reconnaître d’une pureté sans équivalent. Jamais vous n’entendrez une sonorité pareille. Parfois, elle me fait penser à celle de Benny Carter bien sûr (voir Cosmopolite), mais la qualité narrative n’est pas aussi bop ni mainstream que chez ses prédécesseurs. Ce que je veux dire, c’est que Pepper raconte avant tout son histoire, évite les clichés propres au jazz. En ce sens, on le rapprochera sans problème de Lee Konitz et même de l’école de Lennie Tristano (voir Warne Marsch). Je songe aussi à tous ces écrivains de la Beat Generation (Jack Kerouac). Les déambulements et autres délinéaments de ces entrelacs lyriques à vous flanquer des frissons, c’est tout l’art de ce génie de ce saxophoniste. Prenez également la version de « Summertime » (plage 10), vous pouvez être sûr de tenir là une version d’anthologie : douceur et tendresse absolue, au bord de la rupture lyrique. « When You’re Smiling », « Bewitched, Bothered and Bewildered » et « What is This Called Love », trois autres standards, nous renvoient à la chaleur intime et à la générosité d’un musicien qui n’a peur de rien. C’est magnifiquement exécuté en quartet. Même si Pepper domine la session, les autres musiciens ne sont pas à mépriser. Freeman et Ben Tucker surtout donnent à entendre un soutien des plus filandreux qui soit.______________________________________________________________________________(1) Art Pepper Omega Sessions inclut les trois dernières plages de ce Modern Art et la totalité de The Art of Art Pepper (volume 3). (2) Art Pepper avait commencé sa carrière au cours de la décennie précédente auprès de Benny Carter puis auprès de Stan Kenton.(3) Cette même année (1956), il gravait l’un de ses disques les plus connus (encore à ce jour…), le fameux Art Pepper Meets The Rhythm Section (il jouait alors aux côtés de la section rythmique de Miles Davis, à savoir Red Garland, Paul Chambers et Philly Joe Jones).
H**E
great music, but it's not a second volume to the other release with same cover
Ok, this is a great cd, but it's not a second volume to another album titled Modern Art. It is the same album, with a different sequencing and extra tracks. I think the volume 2 means it's the second part of series of reissues. The other shorter version that I have is a japanese release with slightly better sound but shorter content.
J**O
Un Timo
Es una copia y de mala calidad,al menos el que me ha vendido/timado PaperbackshopUs.La portada es una vulgar fotocopia hecha en papel.
M**M
Por fin mio!
Hacía tiempo que andaba detrás de este disco. Llegó con rapidez y estaba en perfecta condiciones (nuevo, precintado).Excelente servicio... y excelente grabación que recomiendo a todo aquel que ame el jazz.
ヒ**デ
音飛び。
ディスク1の最後の曲に音飛びあり。残念。演奏そのものはグッド。
困**だ
CD (2018/2/23) ディスク枚数: 2 について
modern artthe russ freeman sessionsART PEPPER QUARTERTCD (2018/2/23)ディスク枚数: 2これのCD1の14と15トラックは不良です当然星はゼロです。
T**A
価格に比例
音質は価格に比例したものだと思いました。所有している「東芝EMI」のもののほうが自分の好みではあります。
A**ー
代表作です。
古くからのA・PEPPERファンです。本作品は完成度からして彼の代表作かと思われます。特有の陰影感と息の長いアドリブラインは、やはりこの時期でしか味わう事が出来ない物と思います。
Y**N
CDについて。
通常レコードでヒアリングするのですが内容も良くソースが良い。
K**N
アートペッパーアルバムの一押し
アートペッパーのアルバムでは、一番好きなCDです。如何にも彼らしいブローが最高です。
K**Y
Summer Timeについて
この版収録のSummerTimeは、あの名演「Art of Pepper」収録の同曲の別テイクではありません。収録日が違うのです。(57年1月14日)演奏時間が長く、レコードに収録できなかったのでしょうか。この収録曲のみ、端正で制御された、この時期の他の演奏と異質です。心情をもろにさらけ出す、泣き崩れるようなフレーズに驚きます。感情に流されすぎです。でも、ファンにはたまりません。ファンの方は、既に既発売版をお持ちでしょうが、この1曲のみで買う価値あり。泣けます。
ひ**り
JAZZのうんちくはわからんけど、聴いてて心地よい音楽
音楽は元々はクラシック音楽が私のフィールド。だが、最近、youtubeでアップされてるフルアルバムに関心があり、クラシックではない音楽も普通に聴くようになった。クラシック音楽ならうんちくは語れるが、JAZZのそれは全くわからない。そもそもArt Pepper自体を知らなかった。これもyoutubeにアップされたものを聴いて、その落ち着く音楽空間の心地よさに、「なかなかエエやん」それだけで、Amazonで探して購入したものだ。探した時に、中身が違う同タイトルのアルバムがあったけど、単純に「曲数が多い」ことを理由に選んだ。クラシック音楽アルバムでも、この手の「収録日が違う」別テイクものもあるが、JAZZのほうが、一曲あたりの時間が短いことから、クラシック以上にJAZZは別テイク異盤が多い感がある。私の場合は、畑違いフィールドでもあり、テイクに拘りは全くない。ただ、「心地よい」それだけである。最近、目覚ましにステレオでこれがかかるようにセットしており、朝が気持ち良い。
J**.
Poorly Produced for Re-issue
"Bonus" tracks 10 -13 with Carl Perkins instead of Russ Freeman give you a hint of what you are in for if you venture on to the notorious Aladdin recordings Vol 3. The Omega Tapes. Master take tracks 1-8 with Freeman feature good tone and playing by Art but are obviously ill sequenced with a slow blues and a ballad in the No.1 and 2 spots.
B**R
Excitement is packed into each tune
After I listened to this CD for the first time I set it aside. I'm so used to at least one other horn: Mulligan & Baker, Brownie & Max, Bird & Diz et alBut Russ Freeman is another horn even though piano is a rhythm instrument. All four of them are "horns." I remember Ben Tucker, bs from aJeremy Steig, flute Columbia LP I had. And Chuck Flores, dms I remember from the Woody Herman band. Truly this is an all-star line up. No need for any reeds or brass. In fact on "Bunny" (very fast) Russ Freeman almost sounds like a guitar. Art Pepper shows some minor traces of Lee Konitz and Paul Desmond. And he handles his alto almost like Bird. This is a rewarding performance with a little bit of humor. The ballads are well thought out as if Art Pepper was there when they were written. I have a fond memory for the 3 minute disc. Most of them were intense because you knew you only had a few minutes to get everything in. The tunes here have that 3 minute feeling even when the shortest is 3:50 and the longest is 6:07.
M**I
An Unappreciated Genius
Creative, passionate. Among his best records. An essential.
ترست بايلوت
منذ 3 أسابيع
منذ شهرين