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D**R
A BRILLIANT PIANIST, BUT A HUMDRUM SET (3-1/2* out of 5*)
Recorded and released in 1970, this album has been enhanced by the addition of an alternate cut of one song (“A Time for Love”) and the addition of a kind of medley (only two songs, one leading in to the other, “All the Things You Are” leading into an alternate cut of “Midnight Mood”)). Evans played with his usual attention to voicings and pace, but over all, this is not an exciting or even venturesome album. It’s all ballads and most of them fairly mushy –“On a Clear Day,” “Here’s That Rainy Day,” etc. Except for the superior musicianship, this could be a lounge pianist’s set and that’s the mood provoked by listening to it all in one go. Evans was a great pianist but there are other albums that show him off better than this one –particularly his early trio albums with Scott LaFaro and Paul Motian. I’d judge this album a high class throwaway.
I**.
good for diehards.
Really enjoyed his takes on "Here's That Rainy Day", "On A Clear Day, You Can See Forever". Though I've not heard them all, this is one of his more melodic albums, making it worthwhile for fans.
N**D
Rare Bill Evans solo piano
Bill Evans preferred a trio setting, but on this album it was just him and a grand piano. Marvelous album containing some classic American evergreens like Here's That Rainy Day, A Time For Love and a gorgeous medley consisting of All The Things You Are and the marvelous Midnight Mood. I would recommend adding this album to your collection. No one can have too much Bill Evans.
C**.
Simply Amazing!
As described in the title, it is Bill and his piano alone and amazing. I love to turn the lights down low, pursue a little herbal relaxation (tea, of course), and let the stresses of the day evaporate as I delight in the dulcet tones of Bill's improvisations. Wonderful!
Y**U
Great album
The recording date of this solo outing by pianist Bill Evans has been listed as both September 1968 and December 1969; the latter seems the more logical entry. In any case, Evans' final Verve album is one of his weaker dates. He plays five often-rambling solos, including a 14-and-a-half-minute exploration of "Never Let Me Go," and one senses that he misses the usual interplay that he had with his sidemen. In addition, the repertoire -- which also includes "Here's That Rainy Day," "A Time for Love," "Midnight Mood," and "On a Clear Day" -- is not too inspiring and lacks much variety. This set is therefore only recommended to Bill Evans completists who already have many of his other recordings.
A**S
Love this product
No dislikes
J**R
Wow!!!
All I can say is WOW! I have many Bill Evans albums but this one definitely stands "Alone". When you do a solo,with no accompaniment, there's nothing to cover you up and nowhere to hide...It's all you, out there for everyone to listen to. Everything about you're performance is uncovered to "see" and hear. Even though Bill felt that he never came up to the challenge, when you listen to this album, there is no doubt that he did, and more. Just put this on and kick back and listen to a true master. It's so sad that Bill, like many other great musicians, left us too soon. JIM
B**E
Because he's Bill Evans
Amazon asked me to review this recent purchase. Well what can I say? It's like the fellow who interviewed Coach Popovich about Manu Ginobli (I paraphrase): "So Pop how did you know Manu would be able to perform just now in a clinch moment?". Dead pan Answer: "Because he's Manu Ginobli". Uh, yeah.So what is there to review about Bill Evans playing solo on his piano? It's a done deal. It's a great album, not that I've ever heard a not-great album, and they are all superb 'because he's Bill Evans'. Moving on....
F**Z
sans doute la meilleure performance solo du pianiste...
Certes, même quand ils se veulent incontestables, les postulats comme les théorèmes peuvent être remis en question, mais pour ce disque de Bill Evans , je ne comprends pas certaines critiques négatives. Scott Yanow sur le site de référence (trois étoiles sur AllMusic) déclare que le pianiste radote souvent lors de cette session (« often rambling ») ou qu'il y manque une section rythmique et enfin que, comble du comble, cela manque de variété et d'inspiration (sic). Bref, l'on se demande parfois si ce critique a écouté le même disque que vous et moi... La discographie du pianiste, aussi immense soit-elle, est, je le reconnais, parfois très inégale (après tout, peut-on attendre d'un artiste qu'il ne produise que de prétendus « chefs-d'œuvre » ?), il n'empêche que ce disque est un pur ravissement artistique. Certes, l'homme qu'était Bill Evans a toujours eu de graves problèmes avec la drogue et cela s'entend quelquefois (perte de concentration, fatigue, etc.), mais en aucun cas, Alone ne manque d'inspiration ou je-ne-sais-quoi, bien au contraire. Certes, Bill a longtemps hésité avant d'enregistrer dans ce format. Il avait par ailleurs un avis tranché sur la question et sur les disques solo qu'il gravait ( Alone est le troisième dans le genre). J'y ressens toute la sincérité et la tristesse de son auteur. Mais j'y entend aussi des sursauts, des rebondissements, comme des électrochocs. Certes encore, l'expression pianistique de Bill Evans est à l'opposé de celle d'un Art Tatum ou d'un Oscar Peterson. Cet album, l'un de ses tout derniers pour le label de Creed Taylor, laisse toutefois entendre l'étendue artistique d'un artiste au sommet de ses capacités. Le pianiste l'a déclaré, lors d'une interview restée célèbre : le piano solo n'est pas exempt d'erreurs, de défi et de difficultés. « First, it is exceedingly challenging and therefore more satisfying than performing in a trio; second, I have never felt myself equal to the task » confiait-il à Marian McPartland en 1978 (2). Il est clair qu'avec ce disque exclusivement axé sur le piano jazz, Bill Evans se met à nu, et lors d'une première écoute, on peut bien sûr s'interroger sur l'intention de son auteur qui, on le sent bien, privilégie l'expression romantique à la manière d'un Schumann ou d'un Schubert.Bref, faire un mauvais procès à ce disque relève de la mauvaise foi. Je ne le répéterai sans doute jamais assez, mais les changements rythmiques, la vélocité par exemple sur « Two Lonely People » (et ça n'est pas le seul exemple) ne permettent pas de dire qu'il y a un déficit de variation dans le jeu du grand Bill. Lors d'écoutes successives, on mesure surtout la maîtrise du pianiste sur son instrument, sans que celui-ci ne tombe dans la joliesse ou le je ne sais quoi. Je ne sais pas non plus où sont allés chercher certains critiques sur le fait que Bill Evans s'écartait vraiment peu de tel ou tel thème et le lui reprochaient (sic). Ou encore qu'il restait dans la même tonalité du début à la fin du morceau de « Never Let Me Go » (de loin la plus longue pièce du LP original, près de quinze minutes), en affirmant par exemple que l'exploration y était pratiquement bannie (re-sic). Sur la toile, on lit vraiment tout et n'importe quoi. Car, intermodulations et variations, il y a. C'est d'autant plus flagrant dès lors que l'on réécoute l'édition de 2006. La sonorité est belle, d'une clarté inouïe. Pour les morceaux précédents, Evans passe d'une tonalité à l'autre au cours de l'exposition (sur « Here's that rainy day », par exemple, il commence en si majeur, module en sol, puis en mi, avant de revenir en si) et la prise alternative m'apparaît même plus enthousiasmante que la prise master. De là à dire que chaque titre édité dans la première édition a été le fruit d'un important travail de montage (overdub), cela porte bien entendu à controverse. Vous me direz qu'avec Conversations with Myself , puis Further Conversations with Myself (gravés respectivement en 1963 et 1967), la pratique de l'overdubbing a donné des résultats pas toujours convaincants.Or, dans Alone , cette pratique n'existe pas. La version de « Here's that rainy day » est le montage d'extraits tirés de 5 prises différentes nous dit-on ici et là (or dans le livret aucune indication de ce montage). Là aussi, faut qu'on m’explique et qu'on m'en fournisse surtout les preuves. Pour « Two lonely people » : certains critiques prétendument avertis n'ont pas manqué de dire que « le pianiste, ayant fait une erreur harmonique au début de son deuxième chorus, accélérait alors le tempo à partir de cette erreur, se lançait ensuite dans des recherches assez audacieuses pour d'éventuelles prises ultérieures, puis bâclait une première ré-exposition du thème et ne finissait pas la seconde » (voir le site de wikipédia !). Bon, tout cela, c'est certainement pour pinailler ou rechercher des défauts à un disque majeur du grand Bill (on n'a qu'à en dire autant pour Kind Of Blue de Miles Davis...). Car le disque, comme vous le verrez, s'écoute non seulement avec gourmandise mais également avec un bien être unique assez paradoxal : l'expression du piano de Bill nous redonne joie et espoir. Aucune litanie et encore moins de Belle aux Bois Dormant par ici (écoutez la prise alternative de « A Time for Love », d'une richesse narrative et lyrique impressionnante). A ce propos, « Alone » paraîtra sans doute beaucoup plus dilué que les deux volumes gravé en 62 parus chez Fantasy records bien des années plus tard (je fais référence aux deux superbes volumes publiés sous le nom de Solo Sessions ). Cette prise studio est l'une des plus essentielles qui soit dans ce format, et le fait que ce ne soit pas un enregistrement « live » n'ajoutera rien à une éventuelle déconvenue. L'expression classique devrait ravir plus d'un auditeur. Dire enfin que Bill Evans était plus passionnant en trio est certes un point de vue, mais Alone donne à entendre, pour qui s'intéresse à l'œuvre du pianiste, une performance incontournable. Bref, pour moi, l'album fonctionne à merveille. Enfin, pour une fois, on privilégiera l'édition de 2002 ou celle de 2006, enrichies de prises alternatives. Bill Evans ne cède jamais à la complaisance (le magnifique « On A Clear Day »), les ruptures rythmiques et harmoniques sont nombreuses, et le plaisir d'écoute est optimal grâce à une prise de son des plus savoureuses.__________________________________________(1) Les deux volumes connus sous le nom de « Solo Sessions » furent gravés en janvier 1963, et ne sortiront qu'après la mort du pianiste (1980). Orrin Keepnews avait fait la promesse de ne jamais les publier... Sous l'emprise de la drogue, le pianiste donnait là une prestation émouvante, profondément humaine. On a quand même le sentiment malgré la douleur et l'émotion (le pianiste venait de perdre son contrebassiste, Scott LaFaro) d'entendre un homme brisé et profondément peiné (écouter la version de « When I Fall In Love »)...(2) Ces paroles confiées à Marian McPartland sont paradoxales en un sens, et méritent quelques explications : « Jouer en solo, c'est d'abord un sacré défi et par conséquent c'est beaucoup plus gratifiant que de jouer en trio. Mais bon, je ne me suis jamais senti à la hauteur de la tâche. » Le pianiste a souvent douté de son art. Maintes fois, il a signalé son intention de quitter le circuit jazzique. On reconnaîtra l'humilité et l'insatisfaction permanente de ce musicien hors pair.(3) A noter qu'une version restaurée (2022) vient d'être publiée : Alone (import japonais, sans aucun texte en anglais ni aucune photo).(4) On ne s'étonnera pas trop du fait que Bill Evans n'ait jamais enregistré un seul solo au Maybeck Recital Hall : les premiers volumes sur le label Concord datent de 1978... Cela étant dit, entre 1963 et 1978, le pianiste a enregistré sept albums studio dans le format de piano solo. Et on pourra toujours réécouter quelques pistes solo sur son premier album en leadeur (le très bon New Jazz Conceptions ). A bon entendeur. Bill EvansAloneAloneMarian McPartlandConversations with MyselfFurther Conversations with MyselfAloneKind Of BlueSolo SessionsAloneAloneNew Jazz Conceptions
D**S
Bill Evans. The master without doubt.
Bill Evans was the supreme jazz pianist. There is none better. He was the leader supreme where others follow. Buy this, you will not be disappointed believe me.
D**Y
Not one of his finest
Not one of his finest
T**S
Five Stars
I never tire of Bill Evans and criticism doesnt come into it
T**B
Brilliant solo music
Bill alone and brilliant
ترست بايلوت
منذ يوم واحد
منذ شهر